La réponse d'un groupe scolaire à un aléa thermique et de surpression
Abstract
Cette étude située dans la vallée du Rhône date de 2006. Il s'agissait du projet de construction d'un groupe scolaire à moins d'un kilomètre de deux établissements présentant des risques technologiques et sous fortes contraintes foncières. Ces deux établissements sont considérés comme dangereux vis-à-vis du groupe scolaire : - pour l'un, en raison des effets toxiques dans le cas de la rupture d'une tuyauterie d'un composé chloré sans fonctionnement des sécurités, l'école se retrouve en Z2 (SEI) ; - pour l'autre, essentiellement en raison des effets thermiques : le phénomène majorant est le BLEVE qui place l'école en Z1 (SEL). Les effets de surpression dus au phénomène sont, quant à eux, relativement légers puisqu'ils correspondent à des valeurs de l'ordre du bris de vitre pour l'école